Description

Riche en vitamine A, vitamine D et en acides gras Oméga 3 DHA/EPA, pour toute la famille ! Islandik est à l’arôme naturel de citron, sans l’odeur ni le goût désagréables bien connus de l’huile de foie de morue.

L’apport maternel en acide docosahexaénoïque (DHA) contribue au développement normal du cerveau et de la vision du fœtus et des nourrissons nourris au sein.

L’apport en acide docosahexaénoïque (DHA) contribue au développement d’une vision normale des nourrissons jusqu’à l’âge de 12 mois.

La vitamine D est nécessaire à la croissance et au développement normaux des os chez les enfants, et contribue au fonctionnement normal du système immunitaire chez les enfants.

La vitamine D aide à réduire le risque de chute associé à l’instabilité posturale et à la faiblesse musculaire. La chute est un facteur de risque de fracture osseuse chez les hommes et les femmes de 60 ans et plus.

Pour en savoir plus sur l’Huile de foie de Morue, cliquez ici.

BIENFAITS : La vitamine A contribue au fonctionnement normal du système immunitaire*.
La vitamine D contribue au maintien d’une ossature normale**. * ID14 ** ID150

GALÉNIQUE : 240ml

POSOLOGIE : 2 cuillères à café par jour

CERTIFICATION :    

POIDS : 500 g

TOUT SAVOIR SUR LES OMÉGA 3

Généralités

Les acides gras Oméga 3 sont des acides gras à longues chaînes, aussi appelés PUFA (Polyunsaturated Fatty Acids –ou Acides gras à longues chaînes). Les plus connus sont le DHA (DocosaHexaenoic Acid) et l’EPA (EicosaPentaenoic Acid) qui sont quasi exclusivement retrouvés dans les produits d’origine marine. Ce sont des Oméga 3 dits indispensables, car leurs synthèses respectives dans l’organisme sont très faibles.
En effet, la seule voie possible pour produire ces acides gras Oméga 3 de manière endogène passe par l’acide alpha-linolénique (ALA). L’ALA est un acide gras Oméga 3 exclusivement d’origine végétale et qui, après ingestion et conversion dans l’organisme, est métabolisé en EPA puis en DHA (voir schéma). La conversion de l’ALA en DHA est théoriquement comprise entre 5 et 15%, largement individu-dépendant (et sexe-dépendant) et d’autant plus influencée par l’état de santé de l’individu. Néanmoins, dans les faits, la conversion serait encore plus faible (<1%). Du fait de cette faible métabolisation, l’EPA et le DHA doivent être finalement intégrés dans le régime alimentaire. Aucun effet secondaire n’est connu à ce jour concernant la prise d’acide gras Oméga 3 à des doses journalières de l’ordre du gramme. En termes de chronobiologie, la prise d’Oméga 3 est idéale le soir, voire le matin et non pas au cours de la journée.
Différentes formes de PUFAs existent (ordre décroissant de biodisponibilité) :
– phospholipides, formes majoritairement retrouvées dans le krill
– triglycérides, formes les plus communes, avec une biodisponibilité intermédiaire
– esters de cire, spécifiques de l’huile de Calanus, qui en contient plus de 80%
– esters éthyliques, formes les moins biodisponibles, retrouvées dans certaines huiles de poissons (dépendant du process de raffinage et de traitement de l’huile).

Schéma de la conversion des acides gras polyinsaturés dans l’organisme et leurs effets physiologiques, avec leur apport alimentaire :

OMÉGA 3 & santé cardiovasculaire

Les Oméga 3 EPA et DHA sont particulièrement reconnus pour leurs effets positifs sur la santé cardiovasculaire. Ainsi, d’après une étude clinique réalisée en 2014, la supplémentation en DHA/EPA (à un rapport proche de 1) pendant 3 mois a des effets significatifs sur la santé vasculaire, notamment chez des individus atteint du syndrome métabolique (hyperlipidémie, hypercholestérolémie, diabètes, etc.) :
– augmentation de la vasodilatation liée à la pression sanguine (dynamique vasculaire)
– diminution de la vitesse de propagation de l’onde du pouls entre l’artère carotidienne et l’artère fémorale (plus les artères sont rigides, plus la vitesse de propagation de l’onde de pouls sera élevée)
– diminution du taux de lipides sanguins (triglycérides et cholestérol)
– diminution de l’inflammation
Plus globalement, il y a une convergence des données concernant les effets de la supplémentation en DHA/EPA sur le syndrome métabolique et l’activité cardiovasculaire.
Une méta-analyse (16 études cliniques RCT –pour Random Clinical Trial – 901 individus) confirmerait ces effets positifs, et plus précisément sur le paramètre appelé FMD pour Flow-Mediated Dilation (ou vasodilatation dépendante du flux sanguin – plus elle augmente plus les tissus sont oxygénés et moins il y a de résistance face à la pression sanguine). Le FMD est un indicateur de la santé vasculaire et prédictif des problèmes cardiovasculaires en devenir. D’autres cibles physiologiques sont connues pour les PUFAs en lien direct avec la santé cardiovasculaire. Au niveau du système nerveux autonome par exemple, le DHA et l’EPA activent des capteurs sanguins normalisant la pression cardiaque au niveau carotidien, et au niveau coronarien. Les effets sont avérés à des doses comprises entre 1 et 3 g d’un mélange DHA/EPA avec une consommation à moyen/ long terme (3 à 6 mois).
Les PUFA ont aussi un effet protecteur sur la santé cardiaque même chez des patients avec des antécédents de maladies cardiovasculaires. En effet, une méta-analyse (11 études cliniques RCT, 15348 patients) a démontré que la supplémentation d’au moins 1 g d’un mélange en DHA/EPA avec un rapport proche de 1 prévenait des morts subites, des arrêts cardiaques et des infarctus du myocarde. Une revue systématique a aussi mis en avant les effets précédemment décrits, même chez des personnes à hauts risques de complications cardiovasculaires. D’après une autre méta-analyse (14 études, 71899 patients), une supplémentation d’un mélange DHA/EPA pendant au moins 6 mois diminuerait le risque de mort par arrêt cardiaque d’au moins 8 %. Il est aussi observé chez des personnes en bonne santé une diminution de l’apparition de troubles cardiovasculaires à terme. Il a également été montré que la consommation de poissons riches en Oméga 3 est aussi inversement corrélée au risque d’AVC, corrélation démontrée par une méta-analyse réalisée en 2012 (26 études cliniques prospectives et 12 études RCT, 800 000 sujets, dans 15 pays).
Au niveau hépatique, une méta-analyse réalisée en 2018 (21 essais cliniques RCT, >2000 patients) a révélé que la supplémentation journalière en PUFA de 0,5 g à 4 g a des effets bénéfiques contre les maladies hépatiques d’origine non alcoolique. Ces maladies sont corrélées avec un apport élevé en graisse saturée dans l’alimentation, ayant pour conséquence une stéatose hépatique importante et une dysrégulation du métabolisme lipidique. L’effet des PUFA se répercute alors directement et de manière positive sur la santé du système cardiovasculaire (une dérégulation du métabolisme lipidique est corrélée à l’augmentation du risque d’athérosclérose).

OMÉGA 3 & santé neuronale

Les Oméga 3 type DHA et EPA s’insèrent dans les membranes neuronales, donnent de la flexibilité aux cellules neuronales et permettent la conduction neuronale (polarité membranaire protégée, relargage normal des neurotransmetteurs au niveau synaptique).
De nombreuses études réalisées chez l’animal concluent sur l’effet neuroprotecteur, de prévention de troubles neurodégénératifs (maladie d’Alzheimer notamment) et d’amélioration des capacités cognitives.
En effet, les Oméga 3 modulent des voies cellulaires impliquées dans les paramètres neurocognitifs (mémoires ou encore réflexes neurologiques par exemple). Chez l’être humain, des études cliniques concluent sur la prévention de l’apparition du risque de la maladie d’Alzheimer et des démences associées, à des doses équivalentes à environ 1 g d’un mélange DHA/EPA avec un rapport > 2. D’après l’étude EVA (Étude du Vieillissement Artériel sur des sujets nés entre 1922 et 1932), un apport insuffisant en acides gras Oméga 3 est même corrélé avec une augmentation du risque de déclin cognitif.

OMÉGA 3 & cerveau

Aussi appelé acide cervonique, le DHA est un des acides gras majeurs des membranes neuronales, représentant environ 15% des lipides totaux. Il est impliqué dans la dynamique des membranes neuronales et dans la réception des couleurs au niveau visuel.
L’étude clinique « Framingham Heart Study » a révélé que le niveau sanguin de DHA sous forme de phospholipides (DHA-Phosphatidylcholine plus précisément, qui est une forme de transport du DHA dans l’organisme) est inversement corrélé au risque de démence chez des personnes de plus de 60 ans.
Certaines personnes ont un gène déficient qui est responsable d’un défaut de transport du DHA du sang vers le cerveau, au niveau de la barrière hémato-encéphalique. Cette déficience diminue l’apport en DHA au niveau neuronal, et augmente drastiquement le risque d’apparition de maladies neurodégénératives (dont Alzheimer).
En dehors des effets physiologiques connus et démontrés aujourd’hui, les toutes premières consommations de DHA via des produits d’origine marine seraient à l’origine de l’évolution des capacités cognitives et du développement de l’intelligence chez l’être humain (depuis l’Homo neanderthalensis).

OMÉGA 3 & santé neuronale

Les Oméga 3 type DHA et EPA s’insèrent dans les membranes neuronales, donnent de la flexibilité aux cellules neuronales et permettent la conduction neuronale (polarité membranaire protégée, relargage normal des neurotransmetteurs au niveau synaptique).
De nombreuses études réalisées chez l’animal concluent sur l’effet neuroprotecteur, de prévention de troubles neurodégénératifs (maladie d’Alzheimer notamment) et d’amélioration des capacités cognitives.
En effet, les Oméga 3 modulent des voies cellulaires impliquées dans les paramètres neurocognitifs (mémoires ou encore réflexes neurologiques par exemple). Chez l’être humain, des études cliniques concluent sur la prévention de l’apparition du risque de la maladie d’Alzheimer et des démences associées, à des doses équivalentes à environ 1 g d’un mélange DHA/EPA avec un rapport > 2. D’après l’étude EVA (Étude du Vieillissement Artériel sur des sujets nés entre 1922 et 1932), un apport insuffisant en acides gras Oméga 3 est même corrélé avec une augmentation du risque de déclin cognitif.

OMÉGA 3 & cerveau

Aussi appelé acide cervonique, le DHA est un des acides gras majeurs des membranes neuronales, représentant environ 15% des lipides totaux. Il est impliqué dans la dynamique des membranes neuronales et dans la réception des couleurs au niveau visuel.
L’étude clinique « Framingham Heart Study » a révélé que le niveau sanguin de DHA sous forme de phospholipides (DHA-Phosphatidylcholine plus précisément, qui est une forme de transport du DHA dans l’organisme) est inversement corrélé au risque de démence chez des personnes de plus de 60 ans.
Certaines personnes ont un gène déficient qui est responsable d’un défaut de transport du DHA du sang vers le cerveau, au niveau de la barrière hémato-encéphalique. Cette déficience diminue l’apport en DHA au niveau neuronal, et augmente drastiquement le risque d’apparition de maladies neurodégénératives (dont Alzheimer).
En dehors des effets physiologiques connus et démontrés aujourd’hui, les toutes premières consommations de DHA via des produits d’origine marine seraient à l’origine de l’évolution des capacités cognitives et du développement de l’intelligence chez l’être humain (depuis l’Homo neanderthalensis).

Actifs
100% naturels

Actifs
concentrés

Brevets
innovants

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Avis clients (2)

  1. Marie

    Très puissante en oméga cette huile ; et surtout, elle sent bon le citron.

  2. Pascale C

    Produit exceptionnel ! Depuis que j’utilise Islandik, j’ai remarqué une nette amélioration de ma santé générale. Le goût citronné est agréable et masque bien l’odeur de l’huile de foie de morue. Je recommande vivement ce complément alimentaire.

Ingrédients

INGRÉDIENTS : Huile de foie de morue Gadus morua (poissons), arôme naturel de citron, vitamine E (acétate de D-alpha tocophéryle, vitamine A (palmitate de rétinyle), vitamine D (cholécalciférol), antioxydants : mélange de tocophérols.

Conseils d'utilisation / Précautions d’emploi

CONSEILS D’UTILISATION :

Pour adulte et enfant de plus de 6 ans : 2 cuillères à café (10 ml) par jour, une le matin et une le soir, pendant les repas.

Pour enfant à partir de 6 mois : 1 cuillère à café (5 ml) par jour, le matin ou le soir, à mélanger dans un repas solide ou liquide.

PRÉCAUTIONS D’EMPLOI : Ne se substitue pas à un régime alimentaire varié et équilibré. Privilégier un mode de vie sain. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Tenir hors de la portée des jeunes enfants. Maintenir soigneusement fermé dans un endroit frais, sec et à l’abri de la lumière.

Garder au réfrigérateur après ouverture. L’huile de foie de morue peut devenir trouble sous l’action du froid. Cela n’affecte pas la qualité du produit. Ne pas utiliser en cas d’hypersensibilité à l’un des composants.

Consulter un médecin en cas de consommation pour un enfant de moins de 3 ans.

Portion journalière

Chez l’adulte / 10 ml
Huile de foie de morue : 10 ml/9,2 g
Dont EPA : 690 mg
Dont DHA : 920 mg
Vitamine E : 9,2 mg (76,66% VNR*)
Vitamine A : 460 ug (57,5% VNR*)
Vitamine D : 20 ug (400 % VNR*)
*Valeurs Nutritionnelles de Référence

Chez l’enfant / 5 ml
Huile de foie de morue : 5 ml/4,6 g
Dont EPA : 345 mg
Dont DHA : 460 mg
Vitamine E : 4,6 mg (38,33 % VNR**)
Vitamine A : 230 ug (28,75% VNR**)
Vitamine D : 10 ug (200 % VNR**)
**Valeurs Nutritionnelles de Référence