Et si l’AFA (Klamath) devenait une alternative naturelle au NAD+ dans la course à l’immortalité ?

🧬 Vieillissement cellulaire : comprendre ce qui se passe vraiment dans notre corps

Chaque seconde, des millions de cellules naissent, vivent… et meurent. Ce cycle naturel est ce qui permet à notre organisme de fonctionner. Mais avec l’âge, ce processus s’essouffle. Pourquoi ? Parce que nos cellules vieillissent elles aussi. Et contrairement à ce qu’on croit, ce n’est pas qu’une question de rides ou de fatigue : c’est une affaire de biologie cellulaire.

Voici ce qui se passe vraiment à l’intérieur de nous.

1. Le stress oxydatif : l’ennemi silencieux

Tout commence par un déséquilibre : quand notre corps produit trop de radicaux libres et pas assez d’antioxydants pour les neutraliser, c’est le stress oxydatif. Ces radicaux libres sont des molécules instables qui attaquent nos cellules — plus précisément leur ADN, leurs protéines, leurs membranes.

Avec le temps, ces dommages s’accumulent. Résultat : la cellule devient de moins en moins efficace… jusqu’à entrer en sénescence (un état de “vie sans fonction”), ou pire, mourir.

2. L’inflammation chronique de bas grade

On parle de “inflammaging” : une inflammation lente, persistante, qui n’a pas de symptômes visibles mais favorise la dégradation des tissus. Ce processus accompagne souvent le vieillissement et est lié à des maladies comme l’arthrose, les troubles cardio-vasculaires ou le déclin cognitif.

3. Le NAD⁺ : le carburant cellulaire qui s’épuise

Le NAD⁺ (nicotinamide adénine dinucléotide) est un cofacteur indispensable à la vie cellulaire. Il permet la production d’énergie (ATP), la réparation de l’ADN, et l’activation des sirtuines, des enzymes impliquées dans la longévité.

Mais en vieillissant, nos niveaux de NAD⁺ chutent. Moins de NAD⁺, c’est moins d’énergie, moins de réparation… et plus de vulnérabilité au vieillissement.

4. La réparation ralentit

Nos cellules savent se réparer, surtout dans la jeunesse. Mais après 35–40 ans, cette capacité diminue fortement, en partie à cause du stress oxydatif et de la baisse du NAD⁺.

Conclusion : le vieillissement n’est pas une fatalité, mais le résultat d’un déséquilibre biologique. Et la bonne nouvelle, c’est qu’on peut agir sur certains leviers.

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🌿 AFA (Klamath) : l’algue sauvage qui protège nos cellules

Nichée dans les eaux volcaniques du lac Upper Klamath, dans l’Oregon (USA), pousse une micro-algue aux propriétés exceptionnelles : Aphanizomenon flos-aquae, plus connue sous le nom d’AFA. Ce superaliment ancestral suscite l’intérêt croissant des chercheurs et des consommateurs pour ses bienfaits sur la vitalité, la concentration… et même la longévité cellulaire.

1. Une algue sauvage, naturellement puissante

Contrairement à la spiruline (cultivée), l’AFA est sauvage, récoltée à l’état naturel. Elle pousse dans un environnement unique, riche en nutriments issus des cendres volcaniques. Ce biotope exceptionnel donne à l’AFA une densité nutritionnelle rare.

2. Une richesse en phycocyanines

L’un de ses composés phares est la phycocyanine, un pigment bleu puissant aux propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires bien étudiées. Elle aide à neutraliser les radicaux libres, réduire l’inflammation et protéger les cellules contre les dommages du stress oxydatif.

3. Une action sur les cellules souches

Plusieurs études ont observé que la prise d’AFA pouvait augmenter temporairement le nombre de cellules souches circulantes CD34⁺ dans le sang. Ces cellules jouent un rôle clé dans la réparation des tissus endommagés.

Cela ouvre des perspectives intéressantes : en soutenant les mécanismes naturels de régénération, l’AFA pourrait contribuer à ralentir certains effets du vieillissement.

4. Un profil nutritionnel complet

L’AFA contient aussi :

  • des acides aminés essentiels
  • des vitamines (B12 notamment)
  • des polyphénols
  • des phényléthylamines (PEA), liées au bien-être

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⚡NAD⁺ : cette molécule qui soutient notre énergie (et que nous perdons avec l’âge)

Dans les coulisses du vieillissement, une molécule joue un rôle fondamental : le NAD⁺. Peu connue du grand public, elle est pourtant essentielle à la vie de nos cellules. Et sa disparition progressive pourrait bien être un des déclencheurs du vieillissement cellulaire.

1. Le NAD⁺, carburant des enzymes vitales

Le NAD⁺ est impliqué dans :

  • la production d’énergie (ATP) dans les mitochondries
  • la réparation de l’ADN (via les enzymes PARP)
  • l’activation des sirtuines, connues comme “gardiens de la longévité”

Sans NAD⁺, nos cellules deviennent moins efficaces, moins résilientes, et vieillissent plus vite.

2. Pourquoi les niveaux de NAD⁺ chutent avec l’âge ?

Avec le stress oxydatif et l’exposition aux toxines, nos cellules activent des enzymes (comme les PARP) pour réparer l’ADN. Ces enzymes consomment du NAD⁺. Et plus elles s’activent, plus le stock s’épuise.

Résultat : un cercle vicieux. Moins de NAD⁺ = moins de réparation = plus de dommages = encore moins de NAD⁺.

3. Peut-on préserver notre NAD⁺ ?

Oui, en agissant sur les sources de stress oxydatif et en soutenant les fonctions mitochondriales.

C’est là qu’intervient l’AFA, riche en antioxydants naturels (phycocyanine), qui peut réduire la consommation de NAD⁺ en diminuant les dommages à réparer.

4. Une piste naturelle prometteuse

Certaines recherches en cours visent à mesurer le ratio NAD⁺/NADH avant et après cure d’AFA, pour vérifier cet effet protecteur.

Une chose est sûre : préserver notre NAD⁺, c’est soutenir nos cellules de l’intérieur.

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🌊 AFA et anti-âge : que dit vraiment la science ?

Longtemps ignorée, l’AFA attire aujourd’hui l’attention des scientifiques et des laboratoires pour ses effets potentiels sur la protection et la régénération cellulaire. Entre antioxydants puissants, effet sur les cellules souches, et premières études cliniques, la recherche commence à tracer un lien entre cette micro-algue et le vieillissement cellulaire.

1. Réduction du stress oxydatif : des preuves initiales

Une étude menée chez des femmes ménopausées a montré qu’un extrait d’AFA (Klamin®) permettait de réduire les marqueurs d’oxydation (TBARS, ox-LDL) en seulement 2 mois.

Les phycocyanines sont les principales actives responsables de cet effet : elles neutralisent les radicaux libres, diminuant ainsi les dommages à l’ADN, aux membranes, aux mitochondries.

2. Une action sur les cellules souches circulantes

L’étude de Jensen (2007) a révélé un phénomène remarquable : après la prise orale d’extrait d’AFA, le taux de cellules souches CD34⁺ dans le sang augmentait de 25–30 % en 1 à 2 heures.

Ces cellules ont la capacité de migrer vers les tissus endommagés et de participer à leur réparation.

C’est une piste majeure dans la prévention du vieillissement : aider le corps à activer ses propres mécanismes de régénération, naturellement.

3. Données précliniques solides

  • In vitro : protection contre les ROS, réduction de l’expression des cytokines inflammatoires (TNF-α, IL-6).
  • Ex vivo : effet anti-inflammatoire observé sur des cellules immunitaires humaines.
  • Animal : réduction des marqueurs d’inflammation systémique et protection des cellules cérébrales.

4. Vers un essai clinique robuste

Certaines équipes (dont la vôtre, si souhaité) travaillent sur un essai randomisé en double aveugle, pour confirmer les effets sur :

• le stress oxydatif (8-OHdG, F2-isoprostanes)

• la régénération (CD34⁺/CD133⁺)

• la vitalité perçue (fatigue, peau, sommeil)

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✅ Klamath, oui. Mais pas sans garanties de qualité.

L’AFA est une micro-algue sauvage, ce qui en fait sa richesse… mais aussi sa vulnérabilité. Car les eaux du lac Upper Klamath peuvent aussi contenir d’autres cyanobactéries toxiques (comme Microcystis), responsables de la contamination par des microcystines, des toxines hépatiques très surveillées.

1. Le risque : les microcystines

Les microcystines sont des toxines produites par certaines cyanobactéries cohabitant avec l’AFA. Inodores, invisibles, elles peuvent être présentes même en très faible quantité, et être hépatotoxiques à long terme.

Certaines analyses ont détecté des compléments à base d’AFA dépassant les seuils réglementaires, ce qui a entraîné plusieurs alertes sanitaires.

2. Notre exigence : un seuil 5x plus strict

Notre AFA est fournie par DLT (Oregon), avec une spécification qualité ≤ 0,2 ppm de microcystines totales (soit 5x plus stricte que le seuil réglementaire de l’Oregon fixé à 1 ppm).

Chaque lot est :

  • analysé par laboratoire indépendant
  • testé sur plusieurs congénères toxiques (MC-LR, MC-YR, MC-RR…)
  • soumis à des contrôles complémentaires : anatoxine-a, métaux lourds

3. Pourquoi c’est indispensable

Parce que pour proposer un produit anti-âge crédible, il faut garantir :

  • sécurité à long terme
  • transparence envers les clients et professionnels de santé
  • et surtout : confiance

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🧠 Et si votre corps pouvait se réparer… naturellement ?

En vieillissant, notre corps devient moins capable de se réparer. Moins d’énergie, plus de fatigue, des douleurs, des signes visibles. Mais si nous pouvions réactiver nos propres mécanismes de régénération, sans injection, sans médicament, juste en soutenant le bon processus ?

1. Le rôle des cellules souches adultes

Les cellules souches adultes, notamment les CD34⁺, circulent dans le sang et sont capables de migrer vers les tissus lésés (peau, vaisseaux, muscles…), où elles participent à la réparation.

Avec l’âge, leur nombre et leur mobilité chutent.

Mais certaines approches nutritionnelles peuvent stimuler leur libération naturelle.

2. L’AFA et les CD34⁺

Une étude a démontré qu’une simple dose d’extrait d’AFA entraînait :

  • +25 à 30 % de CD34⁺ dans le sang en 2 h
  • Un effet transitoire mais mesurable, confirmé par cytométrie

Cela suggère un potentiel unique pour soutenir la régénération endogène.

3. Pourquoi c’est prometteur

Relancer les CD34⁺ pourrait aider :

  • à améliorer la récupération musculaire
  • à soutenir la cicatrisation
  • à ralentir certains signes du vieillissement cellulaire

C’est une nouvelle voie : aider le corps à se réparer de lui-même, par des nutriments ciblés et de haute qualité.

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🧪 Peut-on objectiver les effets anti-âge d’un complément naturel ?

Le vieillissement est un processus biologique complexe. Pour démontrer l’efficacité réelle d’un produit anti-âge, il ne suffit pas de parler d’antioxydants ou de fatigue perçue — il faut des biomarqueurs mesurables, rigoureux, validés.

C’est exactement ce que nous faisons dans notre étude clinique sur l’AFA.

1. Pourquoi une étude clinique ?

Parce que nous voulons aller plus loin que la promesse marketing.

Nous voulons prouver scientifiquement que l’AFA peut :

  • réduire les dommages cellulaires,
  • préserver des fonctions clés comme le NAD⁺,
  • soutenir des mécanismes naturels de régénération (cellules souches).

2. La méthodologie en bref

  • Durée : 8 à 12 semaines
  • Population : 60–80 adultes (40 à 65 ans), en bonne santé, mais exposés au stress oxydatif (âge, stress, mode de vie)
  • Design : étude randomisée, en double aveugle, contre placebo

3. Ce que nous mesurons (et pourquoi)

Marqueur

Ce qu’il indique

Pourquoi c’est important

8-OHdG (urine ou plasma)

Oxydation de l’ADN

Marqueur direct du vieillissement cellulaire

F2-isoprostanes

Peroxydation lipidique

Dommages oxydatifs sur les membranes

CD34 / CD133

Cellules souches circulantes

Capacité de régénération tissulaire

IL-6, hs-CRP

Inflammation chronique

Composante clé de l’“inflammaging”

NAD / NADH

Énergie cellulaire

Témoin du métabolisme mitochondrial

Fatigue perçue, élasticité de la peau

Résultats visibles/sensibles

Complètent les données biologiques

4. Résultats attendus

Nous ne promettons pas la jeunesse éternelle.

Mais nous pensons pouvoir démontrer :

  • une réduction significative du stress oxydatif,
  • un effet sur la mobilisation des cellules souches,
  • et un signal positif sur la vitalité ressentie.

C’est une démarche rare dans le domaine des compléments naturels. Et elle est au cœur de notre engagement.

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🌿 Protège tes cellules… tous les jours !

Les bénéfices de l’AFA ne se limitent pas à une cure ponctuelle. Pour vraiment soutenir votre vitalité et ralentir certains mécanismes du vieillissement cellulaire, l’idéal est d’intégrer l’AFA dans une routine quotidienne, bien pensée.

1. Quand prendre l’AFA ?

  • Matin, à jeun ou pendant le petit-déjeuner, pour soutenir l’énergie et la concentration.
  • En cure de 2 à 3 mois, surtout aux changements de saison.
  • Ou toute l’année, à faible dose d’entretien.

2. À quelles doses ?

  • 1 à 2 g par jour en entretien (équivalent 2–4 gélules)
  • Jusqu’à 3 g/jour en période de fatigue intense ou de cure anti-âge (selon poids corporel)

⚠️ La sécurité dépend de la qualité : nous utilisons une AFA analysée < 0,2 ppm microcystines, avec certificat d’analyse sur chaque lot.

3. Synergies naturelles

Pour maximiser les effets :

  • Zinc + Sélénium : renforcent la protection contre le stress oxydatif (allégations EFSA possibles)
  • Vitamine E : protège les membranes cellulaires
  • Polyphénols (curcuma, myrtille) : soutiennent la fonction mitochondriale

4. En complément d’un mode de vie sain

L’AFA ne remplace pas :

  • un sommeil réparateur,
  • une alimentation équilibrée,
  • une activité physique régulière.

Mais elle peut devenir un allié précieux pour préserver votre vitalité au quotidien, de l’intérieur.

 

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