Jeffrey Bruno, PhD [« Doctorat »], Joe-Jo Gittelman, et Bany Tuchfeld, PhD [« Doctorat »].
LIMITES ET CONCLUSIONS
Le but de cette recherche préliminaire était d’examiner si le fait de faire intervenir de la Klamath dans l’alimentation procurait un traitement utile aux enfants souffrant de divers problèmes cognitifs et comportementaux. Les présents résultats, conjointement avec les recherches antérieures (Sevilla et Aquirée, 1995 ; Jarratt., et coll., 1997) apportent la preuve que la Klamath peut être bénéfique dans ces domaines du fonctionnement, de même que dans le domaine de la détoxification en cas de contamination à l’aluminium. Essais cliniques et études en double aveugle supplémentaires sont justifiés.
De manière plus générale, les professionnels travaillant avec les enfants dans le secteur de la santé mentale et dans celui de l’éducation devraient peut-être évaluer attentivement l’impact des facteurs alimentaires sur les symptômes présentés par les enfants et même envisager de recommander des conduites sur le plan alimentaire, telles que l’administration de la Klamath, à titre de traitement d’appoint. De plus, si nos résultats concernant l’aptitude de la Klamath à éliminer l’aluminium de l’organisme sont reproduits et élargis, l’ingestion de la Klamath pourrait devenir un choix de traitement dans la prise en charge de la toxicité due à des métaux lourds chez l’enfant.